Pour cette interview, j’ai le grand plaisir d’accueillir Antony Priou, auteur du livre : “Petit traité d’écologie personnelle.”
Tout au long de cette interview, vous allez apprendre de nouvelles solutions pour économiser votre énergie et ne pas tout cramer. Antony va nous donner quelques clés alors c’est parti pour l’interview !
Avant de rentrer dans le vif du sujet, est ce que tu peux te présenter et nous dire quelle est ton activité principale ?
Bonjour Priscille. Je suis un consultant, coach, formateur, conférencier et mon boulot, c’est d’accompagner les collectifs, les individus pour plus de performance et la plupart du temps, de la performance collective J’accompagne les petites et moyennes, les grandes entreprises. C’est assez varié, aussi bien sur la taille que sur le secteur d’activité.
Ok merci, maintenant, on va parler du livre. Est ce que tu peux nous dire ce qui t’a amené à écrire ce livre et nous dire aussi ce que ça veut dire: écologie personnelle ?
En fait, on parle aujourd’hui et c’est acquis pour tout le monde de Transition énergétique. On a besoin évidemment de tous faire des efforts par rapport à ça, parce que les ressources de notre planète sont limitées. D’ailleurs, ça me fait penser à cette “overview effect “que ressentent tous les astronautes qui voient la Terre avec de la distance et on se rend compte que l’on est sur le même vaisseau, c’est-à-dire une dimension finie. On est sur une petite barque toute bleue noyée dans l’océan immense de l’espace.
Ce concept là, on l’applique à nous mêmes car nous sommes un écosystème à part entière. Notre corps, c’est un ensemble si complexe. Et bien, il faut savoir préserver nos propres ressources. Évidemment, pour les consacrer pour les vrais sujets. C’est ça, la clef de ce livre. Finalement, on est les premiers acteurs de notre gaspillage de ressources internes. Il y en a deux des ressources principales. Il y a l’énergie qui sous tend nos actions, ce qui fait que n’entreprend, on avance, on réalise et l’attention. Alors l’attention, ce n’est pas ce qu’on fait, c’est là où on porte notre conscience. Les deux ressources qu’on a à notre disposition, on les gaspille allègrement.
Et le but de ce bouquin, c’est de se dire, soyons attentifs à cette écologie pour justement consacrer cette énergie sur les vrais sujets. C’est par exemple du temps de qualité passé avec ses proches, c’est défendre des causes qui nous sont chères. C’est passer du temps aussi pour avancer sur notre bien être. Il y a plein de sujets, donc ce n’est surtout pas un bouquin sur le lâcher prise au sens renoncement, tomber dans une attitude un peu molle et passive, c’est pas du tout ça. C’est choisir ses batailles, finalement, et mettre son énergie sur les bons sujets.
Et c’est marrant parce que j’ai eu cette idée un été en marchant avec ma fille. Elle me poussait à écrire, c’était un peu mon coach. À l’époque, j’ai rédigé des articles sur LinkedIn et il y en avait un qui avait particulièrement bien marché et qui s’appelait les 5 niveaux du lâcher prise. Je suis parti de là. Je me suis dit tiens, en creusant un peu l’idée, je pourrais trouver d’autres niveaux de lâcher prise.
C’est ce que j’ai fait et à partir de là, j’ai commencé à avoir une structure qui apparaissait, un concept et donc je suis parti sur cette notion de niveau de lâcher prise. Et puis après, j’ai été vers la notion d’écologie personnelle. Voilà comment est né le livre.
Alors, peux- tu nous dire quels sont les bénéfices qu’on peut dégager du livre en le lisant ?
C’est un livre qui se lit très, très facilement parce qu’il est truffé d’exemples et d’anecdotes qui rendent les choses très concrètes. Il est segmenté en chapitres qui sont très courts et qui correspondent à chaque fois à des étapes de vie. La première partie, ça concerne la vie quotidienne, le tout un chacun. La deuxième, ça concerne la relation qu’on a avec autrui et la dernière, c’est un niveau un peu plus recherché, le niveau de spiritualité et de sagesse. Il y a une espèce de chronologie et donc on peut lire ça très facilement en allant piocher dans un chapitre, une idée. Et chaque chapitre comporte à la fin une section avec des actions concrètes, des choses très opérationnelles qui peuvent être appliquées directement dans son quotidien.
Le bénéfice, c’est ça, c’est l’accessibilité et la capacité qu’on a à trouver des techniques et des astuces directement applicables dans la vie de tous les jours.
Donc, tu conseilles une fois qu’on le lit, de mettre en pratique.
L’idée, c’est d’avoir, je pense, une attitude très détachée, très ludique par rapport à ça. Tiens, je lis des choses et certaines vont plus me parler que d’autres. Je vais tester les choses qui me parlent le plus, expérimenter non pas dans un esprit perfectionniste, mais plutôt dans un esprit : tiens, ça me parle, je teste.
Et au fur et à mesure que l’on intègre avec un livre comme celui là, avec d’autres lectures, avec des influences au fur à mesure, on intègre de bonnes habitudes. C’est comme ça qu’on progresse. Je ne crois pas au changement radical. Je crois plutôt à une progression lente sur le long terme, mais durable.
OK, super, merci. Et alors, tu l’as auto-édité ?
Alors, un peu par défaut, parce qu’au départ, je suis allé sur le terrain de l’édition classique. Là, j’ai eu des pourparlers avec les Éditions de L’homme au Canada. Finalement, ça n’a pas abouti. Et comme j’étais impatient et que je voulais voir mon bébé naître, eh bien je suis passé par l’auto édition, c’est -à -dire que j’ai dû utiliser les moyens de mon entreprise et j’ai réuni une équipe d’illustrateurs, de maquettistes. Je suis passé par un imprimeur local, donc une petite équipe locale, à Nantes, pour pouvoir le sortir en auto-édition.
Je ne regrette absolument pas de l’avoir fait parce que c’est la première fois que je me lançais sur un projet de livre et je suis très intéressé par toutes ces étapes. J’ai pris beaucoup de plaisir à travailler avec la maquettiste, voir comment ça se passait. Pour la première de couverture, tout ça, c’est allé chercher l’exemplaire chez l’imprimeur, le bon à tirer. Et voilà, c’est fort en émotion.
Maintenant la dernière partie. Pour moi, il y a trois parties à l’écriture : la composition, la réalisation et la diffusion. Pour ce qui concerne la diffusion, c’est un vrai métier. Et là, pour le coup, en auto-édition, c’est assez difficile. C’est compliqué. Ce n’est pas l’étape qui m’a le plus emballé. Donc repérer les circuits de distribution, aller voir des librairies, faire des dépôts ventes … C’est tout un métier.
C’est pour cela que les pourcentages pour les auteurs sont réduits à la portion congrue. Il ne faut pas oublier tout le travail, toute la chaîne de valeur qu’il y a derrière. C’est vraiment un métier, que ce soit de la promotion, de la diffusion, de la distribution, de la logistique. C’est tout un travail.
OK, mais en tout cas, on a gagné en indépendance, tu étais en autonomie sur ton livre et c’est ça qu’il faut retenir avec l’auto édition.
On a les coudées franches. Si je peux me permettre un conseil sur ce sujet, c’est celle issue de mon expérience personnelle. C’est ne pas lésiner sur le temps et le processus de relecture.
Mon ouvrage n’est pas un ouvrage très épais en terme de contenu. C’est un volume assez moyen de 220 pages à peu près. Et j’ai passé beaucoup, beaucoup de temps à le faire relire avec des personnes différentes. Et on trouvait encore des coquilles. C’est un vrai travail. Si vous faites de l’auto édition, ne lésinez pas sur cette étape là.
Notes de l’interviewer : « Pour l’avoir lu, je trouve qu’il a un côté très, très pragmatique, avec des sections qui nous parlent plus que d’autres en fonction de sa situation personnelle et donc en ces temps de crise sanitaire et de transition finalement, les rubriques sur la peur ou l’impermanence sont des situations que beaucoup de personnes vivent en ce moment ».
Est ce que tu peux nous donner quelques clés par rapport à la peur et l’impermanence, quelques conseils à nos auditeurs?
Alors avec plaisir. En ce qui concerne la peur, là, on aborde un sujet qui est central dans notre fonctionnement d’humain. La peur est une émotion archaïque, puissamment ancrée. C’est sans doute l’émotion la plus ancienne dans la mécanique du vivant. C’est ce qui permet de survivre tout simplement, de repérer le danger, de l’éviter et de survivre. Et à notre niveau, il faut bien distinguer la peur qui est saine et constructive. Par exemple, en hiver je vais déambuler sur un trottoir verglacé.
Je vais naturellement, grâce à la peur, adapter ma marche, mes mouvements pour éviter la chute. C’est parfait. De la même manière, si j’anticipe un projet, je vais réfléchir aux risques éventuels que je pourrais rencontrer dans les semaines et les mois à venir. C’est pareil. C’est une forme de peur qui m’aide à anticiper et à construire. Par contre, il y a une autre peur, fruit de notre imagination qui repose sur du vide.
Ça n’apporte absolument rien. Elle nous dessert. C’est une heure qui est basée sur des fantasmes qu’on projette. Donc, la clé par rapport à ça, c’est tout simplement la connaissance. Concrètement, si j’ai peur d’un événement, un truc tout bête, je peux regarder les statistiques d’occurrences de cet événement. On se rend compte que voilà, on se prend la tête et les tripes pour des risques qui sont vraiment minimes.
D’ailleurs, c’est le travail de certains assureurs ou certaines propositions commerciales qui nous vendent des garanties supplémentaires. Mais quand on y réfléchit bien, la probabilité est assez faible. Donc là, on peut agir. Et l’expression anglo-saxonne que j’aime bien, qui dit : “speak with data”, c’est à dire les faits tels qu’ils sont, qu’on se laisse très vite embarquer par l’émotionnel et par nos fantasmes. Donc, concernant cette dernière, on peut vraiment progresser là dessus.
Arrêtons de ruminer au niveau de notre mental. Mais regardez vraiment les faits et la période de Covid-19 qu’on a vécu est intéressante à ce titre là. Parce que, comme le dit Etienne Klein, les médias ont souvent donné tribune à des personnes qui n’avaient pas forcément une connaissance mesurée. A un stade de l’épidémie au mois de mars avril, les scientifiques disaient : on ne sait pas, il nous manque des données, du recul. On ne sait pratiquement rien avec certitude. Pour un média, ce n’est pas vendeur. Donc on a donné la parole à des personnes qui étaient beaucoup plus tranchées et beaucoup plus incisives, mais qui ne s’appuyaient pas sur un état de faits avérés. Rappelons-nous la citation d’Averroès, un philosophe du 12e siècle :
“l’ignorance mène à la peur, la peur, à la haine et la haine à la violence”. La première étape, c’est celle de la connaissance.
Quels sont les conseils que tu donnes dans ce livre que tu appliques à toi même le plus possible dans la vie quotidienne pour un maximum de bénéfices?
Alors, c’est une excellente question. Il y en a plusieurs. Je vais peut-être aller sur 3 techniques.
La cohérence cardiaque, pour moi, quand je l’ai découvert, cela a été une véritable révélation. Je pratique le yoga depuis assez longtemps, mais là, c’est une technique qui est mise au point par des médecins. Et j’adore le rapport simplicité /efficacité que cette technique présente. Donc la cohérence cardiaque, je l’utilise vraiment très, très régulièrement, que ce soit dans des embouteillages ou des salles d’attente ou encore le soir pour m’endormir. Quand je suis un peu speed et que j’ai du mal à redescendre. C’est quelque chose de complètement ancré dans ma pratique.
Une autre technique que j’utilise beaucoup ici et là. J’ai un peu progressé mais il me reste encore du chemin à faire. J’ai une propension toujours à vouloir aider quelqu’un qui me parle de sa vie perso et qui me parle d’une galère, etc.
Cela m’est arrivé de donner des conseils par rapport à cette situation que je jugeais pertinents et la personne, n’écoutait pas ou n’appliquait pas les conseils. Quand je la revoyais, elle en était au même point, Je m’entêtais. J’avais une tension par procuration par rapport au problème de la personne. Aujourd’hui, ça, c’est quelque chose que je viens d’intégrer, le fait d’arrêter de vouloir convaincre une personne qui ne veut pas l’être.
Et c’est pareil sur des débats politiques, sur des débats de société. Maintenant, j’arrête de vouloir convaincre celui qui est en face de moi. Je veux bien débattre, mais je vais lâcher prise.
Alors la dernière, c’est celle sans doute qui est le fil rouge de ce livre et que j’ai intégré il y a très longtemps, ce n’est pas nouveau. Les stoïciens en ont parlé.
C’est le fameux lâcher prise sur l’inéluctable. C’est une gymnastique mentale, une hygiène que j’ai intégré à chaque fois que je suis dans une situation de tension, de problèmes. Je fais mes deux petites colonnes dans l’esprit.
Première colonne = quelles sont les batailles inutiles ? Les sujets sur lesquels tu peux rien faire, ça s’impose à toi. Ce n’est même pas la peine de chercher à changer. C’est comme ça en général, dans cette colonne où on va classer tout ce qui s’est passé, sur lequel on ne peut pas revenir. Je me lève le matin, je suis maladroit, je casse un verre, il est cassé, mais il n’y a pas une touche ‘Rewind” qui permet de revenir en arrière.
La première colonne, c’est là où on économise un maximum d’énergie en termes d’écologie personnelle. On est au cœur de cet ouvrage, cela ne sert à rien de ressasser, de se rouler par terre, de se plaindre. C’est fait.
Par contre, cette économie, chaque unité de temps et d’énergie que j’économise dans cette colonne, c’est pour mieux l’investir dans la deuxième colonne. Et la deuxième colonne, c’est mon champ d’action. Donc le champ d’action, c’est par exemple : qu’est ce que je peux faire à mon niveau? Et même si dans certaines situations, on a l’impression que notre champ d’action, c’est un grain de riz et qu’il n’y a pas grand chose à faire. Bien dites-vous que chaque unité de temps et d’énergie que j’investis à l’intérieur de ce cercle va produire un résultat. Ça va augmenter mon sentiment de maîtrise, mon sentiment d’être acteur sur ma vie et non pas subir et d’être victime. Et ça, ça fait du bien. Cette technique, on va dire que maintenant, c’est comme une seconde respiration. Je l’ai complètement modélisé, intégré dans mon fonctionnement.
Excellent. Alors, on continue dans ce livre, on peut voir la grande influence que le yoga a dans ta vie. Comment tu relies finalement le yoga à l’écologie personnelle ?
Le yoga est plus qu’un outil, c’est une approche, une philosophie. En Occident, on en a une vision assez restrictive. On voit toujours la partie asana, la partie posturale et je dirais que par rapport à l’écologie personnelle, pour moi, le yoga, c’est un outil qui va m’aider à rééquilibrer mon écosystème. Ça va m’aider à me régénérer, à refaire circuler l’énergie comme il faut. Enfin, ça va m’aider à détoxifier mon organisme et la même chose pour le mental.
Ce que je t’explique pour le corps, eh bien, je le vis aussi pour le mental. Les premiers bénéfices du yoga ? Quand j’avais commencé en 2000, j’allais pour tout dire à une salle de sport à Paris faire du renforcement musculaire, même si ça se voit pas tellement. Et à l’époque, je me suis dit les muscles, c’est bien, mais la souplesse, c’est bien aussi. Comme tous les hommes, je suis assez raide et donc j’ai vu qu’il y avait des cours de yoga.
J’ai commencé ces cours de yoga et il y avait des cours le samedi matin, une heure et demie de yoga. Et quand je revenais de ces cours de yoga, j’avais le sentiment d’être rentré comme une chemise qu’on apporte au pressing. Après trois jours à être porté, tu vois la chemise chiffonnée, malodorante, etc. Et tu la reprends du pressing. Elle est sur un cintre, elle est nickel. Cette impression là, je l’avais pour mon corps.
J’avais l’impression que mon corps était léger. Mes pensées étaient régénérées. J’arrivais à mettre mon flux d’attention où je voulais. C’était assez puissant, assez magique. Et là, il y a quelque chose de proche de l’écologie personnelle. Le yoga est un outil de prévention principalement qui permet à ton système de rester sain avec une énergie qui circule.
Et maintenant, une autre question. Que représente pour toi l’écriture ? Qu’est-ce que cela t’apporte ?
C’est d’abord d’avoir du plaisir. Quand on est un peu perfectionniste, on est souvent freiné, on est frustré dans son élan parce que ce n’est jamais évident, assez bien, etc. Mais il y a quand même une étape dans l’écriture où on atteint parfois une forme de transe. En fait, je l’ai vécu. Pour ce livre, il y a des soirées, je me souviens très bien où j’étais parti et là, ça ne s’arrête plus, les idées fusent.
On est dans un flux extraordinaire parce que ça se fait tout seul, alors c’est mal rédigé, Ok, il y a des fautes mais l’idée est là. Ça, c’est un bonheur incommensurable. Ça, c’est vraiment un kif extraordinaire de ressentir ça. Ça, c’est le plaisir de l’écriture. Et puis, il y a un autre plaisir de l’écriture. Cela arrive à chaud, à froid ça arrive parfois que l’on relise ce que l’on a écrit à certains moments de sa vie. Des fois, on trouve ça complètement nul et d’autres fois, on a des bonnes surprises. D’autres fois, on arrive à se surprendre soi-même.
Et puis, pour l’esprit, tout simplement. Ça, c’est un super outil pour structurer ses idées, pour apprendre. Parce que forcément, quand on creuse un sujet, ça nous amène à creuser d’autres sujets. C’est un exercice satisfaisant, enrichissant et plein de bénéfices. Et en plus de ça, c’est une activité que l’on peut faire quasiment quand on veut et où on veut.
Précédemment tu as décrit cet état de flow où tu es complètement absorbé dans ton activité et a une énergie de dingue. Il ne faut surtout pas arrêter ce moment de créativité puisque, comme tu dis, ce n’est peut être pas parfait mais la création, elle est là. Tu vas produire en très peu de temps une énorme quantité de choses. Ça va être le contraire de la page blanche.
J’ai écouté les conseils d’un écrivain accompli qui disait : ne vous prenez pas la tête sur le fait de faire parfait sur le premier jet.
Le premier, c’est le premier jet. Donc allez y quoi. Quelles que soient nos projets, il faut aller au bout. Comme beaucoup, ça m’arrive d’avoir plein d’idées. Il y a des fois des idées sur lesquelles on avance vite et pouf, ça s’arrête. On ne va pas jusqu’au bout et on repart sur un nouveau sujet.
Donc, c’est important de finaliser ses manuscrits, même si ça ne sera pas publié, mais au moins on a tourné la page et on est allé jusqu’au bout de sa démarche.
Super, très prometteur, en tout cas. Merci Antony, et toi, est-ce que tu souhaites rajouter autre chose à ce partage?
Écoute, je crois qu’on a fait le tour de pas mal de sujets. Merci pour cet échange, c’était très sympa. Ça m’a replongé il y a deux ans dans le projet d’écriture. Si un dernier message pour tous ceux qui ont des projets, allez jusqu’au bout, même en auto-édition. Vraiment, allez au bout des projets, réalisez-les. Il y a vraiment cette sensation d’accomplissement quand on a finalisé son bébé, quel qu’il soit.
C’est chouette pour la confiance en soi, c’est un véritable booster.
OK, merci infiniment Antony pour avoir répondu à toutes mes questions !
Merci à toi aussi !
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